Le mot « soumission »
vient du latin « submissio », qui veut dire « acte de laisser,
de s’enfocer, de céder », et « submissio », par son tour, est
formé par « sub-» (dessous), plus « mittere » (ordonner,
envoyer, laisser aller).
Hannah
Arendt, dans son livre « Sur la Violence », nous dit que Stuart
Mill une fois écrivit : « la première leçon de la civilization
[est] laquelle de l’obedience » et qu’il parla des « deux états de
inclinations... un, le désir d’exercer de pouvoir sur les autres ;
l’autre, l’absence d’inclination pour souffrir l’exercice du pouvoir (la
soumission) ».
Pour
donner un exemple, on peut utiliser l’un des plus ancien qu’on a, qui est
lequel de l’Etat sur sa population, où on voit que le peuple donne son pouvoir
à l’instituition de l’Etat pour qu’il gère la coexistence pacifique des gens.
Donc, la
soumission est une des manières que l’être humain découvrit pour que la espèce
pouvait vivre en harmonie avec les autres, soit dans petites communautés, soit
dans un État.
Igor Magri de Queiroz
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